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  • Photo du rédacteurGilbert

RIP Bébel ...



Je ne pensais pas revenir avec une petite chronique une semaine après la reprise, mais la disparition de Jean Paul Belmondo en a décidé autrement.


Pourtant, je ne vais pas à mon tour composer un long laïus pour faire l’éloge des multiples talents de cet artiste magnifique qui a su imprimer sa marque, partager son sourire et partager sa simplicité et son charisme à plusieurs générations depuis ses premières interprétations au cinéma dans les années 1955-60, puis plus tardivement conjointement au théâtre.


Pour ma part, je l’ai toujours préféré dans les films d’auteurs, à commencer par ‘A bout de souffle’ de Godard (1960), ou Léon Morin prêtre (Jean-Pierre Melville, 1961), Week-end à Zuydkoote (Henri Verneuil -1964), Pierrot le fou (encore Jean Luc Godard, 1965), Borsalino (Jacques Deray -1970), La scoumoune ( José Giovanni- 1972) ou Stavisky (Alain Resnais -1974) ou Itinéraire d’un enfant gâté ( Claude Lelouch – 1988) que dans les films d’aventure des années 70-80 souvent signés par des metteurs en scène talentueux mais plus légers comme Claude Zidi, Philippe de Broca, Philippe Labro ou Gérard Oury. Dans ces comédies, il est vrai que les multiples et incroyables cascades qu’il réalisait sans doublage en ont ébloui plus d’un ! Mais c’est ce cinéma-là qui l’a rendu populaire aux yeux d’un très grand nombre de spectateurs, lesquels depuis que leur ‘Bébel’ depuis son AVC et son âge pour avancer pour poursuivre les tournages se sont mis en tête pour lui trouver un digne successeur (Jean Dujardin ? Romain Duris ?....)


Depuis son décès lundi dernier, les journaux et magazines regorgent d’hommages et la télévision rediffuse plusieurs de ses grands succès… Aujourd’hui la France organise une grande cérémonie officielle aux Invalides en sa mémoire… Je ne vois guère ce que je pourrais ajouter de plus !


Une chose est certaine, tu vas nous manquer, Jean Paul Belmondo…






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