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Résumé

Alors que les flots sombres et menaçants de la rivière submergent Perdido, une petite ville du sud de l’Alabama, les Caskey, une riche famille de propriétaires, doivent faire face aux innombrables dégâts provoqués par la crue.
Mené par Mary-Love, la puissante matriarche, et par Oscar, son fils dévoué, le clan s’apprête à se relever.
Mais c’est compter sans l’apparition , aussi soudaine que mystérieuse, d’Elinor Dammert, jeune femme séduisante

Mon Commentaire

‘Blackwater’ est une saga culte aux Etats Unis, qui a néanmoins attendu quelques décennies pour traverser l’Atlantique, puisque l’histoire originale signée par le romancier Michael McDowell (décédé en 1999) date de…1983. Ce premier tome ‘La crue’ nous raconte l’histoire de la riche famille Caskey, qui vit à Perdido, petite bourgade aux confins de l’Alabama. Le village a été la victime d’une dévastatrice inondation en 1919. Pour gérer la reconstruction, la famille Caskey, sous la houlette de la matriarche Mary-Love et de son dévoué fils Oscar, s’organise. Mais un évènement inattendu contrarie les plans des riches propriétaires et suscite l’hostilité de Mary-Love : l’apparition inexpliquée d’Elinor Dammert, jeune femme affable et séduisante aux cheveux rouges flamboyants, sauvée des eaux et dont le passé est pour le moins mystérieux.

Il est dit de cette saga que Stephen King en a été captivé et s’en est par ailleurs souvent inspiré pour ses différents ouvrages. Force est d’admettre qu’une atmosphère étrange plane en permanence au-dessus de la bourgade de Perdido et plus particulièrement autour des membres de cette famille Caskey… Le lecteur est ainsi au fil des pages balloté entre des moments de chaleur humaine dès lors que l’histoire tourne autour de l’univers de l’étrange Miss Dammert, mais emmené dans des périodes plus austères dès lors que l’austère Mary Love est aux commandes.

Afin de ménager le suspense de ce roman -feuilleton découpé en six volumes, l’éditeur a même prévu de sortir un tome tous les quinze jours, du 7 avril au 22 juin 2022…De là à être accro à ‘Blackwater’, il y a un - grand ! -  pas que je n’ai pas franchi. La lecture de ce premier tome s’avère facile mais bien trop lent et trop fade à mon goût ! Pas certain dans ces conditions de vouloir continuer, alors que tant d’ouvrages paraissent en cette rentrée littéraire.

Ma note : 12/20
Michael McDowell Télérama.jpeg

Photo Telerama

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